The Walking Dead RPG
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 Présentation de Dylan Udinov

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Localisation : Parmi les étoiles, parce que c'est là que tu te trouves ♥
Dylan Udinov
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Dylan Udinov
MessageSujet: Présentation de Dylan Udinov   Présentation de Dylan Udinov EmptyMar 1 Juil - 13:34

© Arrogant Mischief sur Never Utopia
Dylan UDINOV

« La meilleure chose que vous pouvez faire pour quelqu'un n'est pas seulement de partager vos richesses mais de lui faire découvrir les siennes. »


۞ NOM : Udinov
۞ PRÉNOM(S) : Dylan
۞ SURNOM : Dydy
۞ AGE : 22 ans
۞ SEXE : Masculin
۞ NATIONALITÉ : Russe
۞ ORIENTATION : Hétéro
۞ AVATAR : Ryan Guzman
۞ DOUBLE COMPTE ? NON
۞ NIVEAU RP : Vous le connaissez ^^

CARACTERE
Dylan est un jeune homme hypermnésique : il mémorise tout et n’oublie jamais rien. Une fois vécu, dit, lu… C’est gravé et impossible à oublier. Ça a de bons côtés. Par exemple, pour les examens. Dylan lit son cours une fois et il le connaît par cœur. Il voit une situation une fois, et saura quoi faire des années après. Malheureusement, il y a aussi de mauvais côtés. Les souvenirs brillent dans sa mémoire avec une force peu commune, autant les bons que les mauvais. Les mauvaises choses restent donc en travers de sa gorge, ce qui fait de lui quelqu’un de très rancunier envers les autres, même pour les petites fautes. Il est également très susceptible. Une parole de travers et il vous en voudra. Il arrive à pardonner, mais ça prend du temps. Dylan déteste qu’on lui force la main, il aime faire les choses à sa manière et il tient à sa liberté. N’essayez jamais de la lui retirer ou il vous le fera payer très cher. Il est très obstiné et il est extrêmement difficile de le faire changer d’avis. C’est un jeune homme prompt à la colère, qui s’énerve facilement. Il lui arrive d’être violent sous l’effet de la colère, mais pas vers les gens, uniquement vers les objets ou autre. Il se brisera une main contre un mur en y mettant un coup de poing. Néanmoins, il sait se battre et si vraiment vous le cherchez, il se pourrait bien que vous finissiez à l’hôpital avec l’amour propre en miette et la fierté blessée. Dylan est quelqu’un de fier, qui n’apprécie pas du tout qu’on le regarde de haut ou qu’on se moque de lui.

C’est quelqu’un de très honnête, qui n’hésitera jamais à vous dire en face ce qu’il pense. Très direct, il ne prendra pas de gants et pourra se montrer cassant et vous humilier. Mais il sait aussi voir les qualités des gens, et n’hésitera jamais à le leur dire en face. Il est très généreux, volontaire et empathique. Il est sensible aux problèmes et humeurs des autres, et il fera toujours de son mieux pour les aider, dans la mesure du possible et sans compter son temps. Il sait écouter et même réconforter quand c’est possible. Il aime aider les autres. Très intuitif et observateur, il sent quand les gens vont mal, même s’ils essayent de le cacher. Il accorde difficilement sa confiance mais lorsqu’on l’obtient, c’est un ami fidèle et dévoué, toujours là si besoin, pour quoi que ce soit.

Dylan est insouciant, spontané et curieux. Il aime apprendre et découvrir. Il agit d’abord et réfléchit ensuite, ce qui lui attire souvent des problèmes. C’est une personne irréfléchie et impulsive qui adore les sensations fortes et les sports extrêmes. Il se blesse souvent et n’est pas raisonnable. Même blessé, il fera des choses dangereuses et n’obéira pas à son médecin. Se reposer ? Jamais ! Il déteste ne rien faire, et il est impatient. Avec lui, on ne s’ennuie jamais. Dylan pousse ses limites toujours plus loin, et il encourage les autres à faire la même chose. Cela dit, s’il n’hésite pas à mettre sa propre vie en danger, il ne vous obligera jamais à faire de même. Il vous déconseillera de le faire et essayera même de vous en dissuader. Il est protecteur avec les gens auxquels il tient, même si ce n’est pas toujours au goût de ces derniers. Cependant, il n’essayera pas de priver les autres de leur liberté, il est respectueux de cela. Très jeune, Dylan a appris à respecter le silence des autres. Même s’il brûle de curiosité, il ne forcera jamais quelqu’un à lui révéler quelque chose si cette personne ne le fait pas de son plein gré. Le jeune homme est également très respectueux des traditions. En vrai gentleman, il tiendra la porte, ouvrira la portière de la voiture… Il est serviable et débrouillard. Dylan est une personne rêveuse et se perd souvent dans ses pensées. Il est également très énergique, il ne s’arrête jamais. A croire qu’il n’est jamais fatigué !

En amour comme en amitié, c’est quelqu’un de fidèle et de sincère. Par contre, il reste vigilant. Il ne considère jamais rien comme acquis et il est toujours prêt à se battre. Combatif et déterminé, il ne se laisse pas marcher sur les pieds. Il n’accepte pas la défaite, sauf quand il n’avait aucune chance dès le départ, ce qui n’arrive pas souvent. Il est réaliste et reconnaît quand il a perdu. Il est assez sociable généralement, mais il aime aussi la solitude. Dylan, contrairement à beaucoup, n’a aucun problème pour s’engager et une fois fait, il est fidèle et ne regarde plus ailleurs.

Même s’il est honnête et sincère en général, Dylan sait mentir et il n’hésitera jamais à le faire. Discret, il sait garder les secrets, même les plus noirs, qu’on lui confie et même les siens. Il est impossible de le faire parler s’il n’en a pas envie. Lorsqu’il fait un choix, Dylan s’y tient quoi qu’il arrive. Loyal envers les siens, il ne retournera pas sa chemise. C’est pourquoi on est généralement sûr de lui et qu’on choisit de lui faire confiance.

Dylan possède un sens pratique développé et il se contente du strict minimum. Solide et résistant, il n’est pratiquement jamais malade, il ne craint pas la chaleur ni le froid et n’a pas peur de dormir par terre, ni de la vie « à la dure ». Travailleur, il ne rechignera jamais devant une tâche longue et dure, et il accomplira sa part du travail, voire même plus. Soigneux, il fait les choses bien, parce qu’il pense que quitte à les faire, autant ne pas être obligé de recommencer derrière ou de repasser parce que ça n’a pas été fait avec soin ! Mais il n’y passe pas pour autant trois heures pour une chose qui doit prendre un quart d’heure.

Enfin, c’est un ancien gymnaste. Il est très souple et agile, et arrive sans peine à utiliser ce qu’il a appris dans toutes sortes de choses, comme les combats au corps à corps par exemple. Il est capable de se tordre sans se faire mal.
HISTOIRE
L’épidémie faisait rage. De plus en plus de gens passaient de l’autre côté, passant des résistants survivants aux morts-vivants. Partout dans le monde, la violence se déchaînait. Les pays, autrefois prospères pour la plupart, surtout pour les pays riches, tombaient à présent en ruines. Les grandes villes ? Aujourd’hui mortes. Les nombreux bâtiments, autrefois peints et neufs, étaient à présent détruits, et souvent, ils avaient flambés et il n’en restait plus que les cendres. Les petits villages n’étaient pas davantage épargnés. Les champs de culture ? Dévastés. Les lieux d’apprentissage, tels que les écoles ou les universités ? En ruines. Les gouvernements et royautés ? Tombés. Aujourd’hui, la seule loi qui existe est la loi du plus fort. La loi du survivant. Car si les personnes touchées par l’épidémie, une très grande majorité, n’ont plus qu’une idée en tête, contaminer le plus de monde, il y a ces résistants. Peu nombreux, il est vrai. Mais pourtant là. Les gens les plus respectables se sont mis à chercher des assassins, des meurtriers, des terroristes. Leur protection, car tous criminels qu’ils étaient, ils savaient se servir des armes. Et les armes, de nos jours, permettaient de rester en vie. Enfin, de ne pas être touché par l’épidémie. Aujourd’hui, plus de différence entre les races, les types et les religions. Aujourd’hui, plus de guerre pour un territoire. Aujourd’hui, les survivants se serraient les coudes. Parce qu’ils étaient peu nombreux, et pas du tout enclin à laisser leur vie s’échapper, pour finir comme les humains – peut-on réellement les appeler humains ? – les créatures, qui peuplaient désormais ce monde ?

C’est dans un des rares camps de survivants russes que je vis le jour. Au milieu d’une nuit d’hiver glacée, que même le feu de camp, pourtant immense, n’arrivait pas à réchauffer. Les hivers russes sont connus pour leur dureté. Cette année là ne fit pas exception. Le camp était composé d’une cinquantaine de survivants. Un camp assez vaste. Cependant, chaque famille soutenait les autres, et de nombreuses personnes étaient chargées de monter la garde, le jour comme la nuit. Tout le monde se relevait, et les enfants s’y mettaient dès 10 ans. Tous savaient où ils étaient nés, et dans quel monde. Aucun ne protestait, et généralement, ils attendaient de pouvoir aider avec impatience. Parce qu’il n’y a rien de pire que de ne pas se sentir en sécurité.

Mon père et ma mère s’étaient rencontrés un an avant. Ils appartenaient à des camps de survivants différents. Les camps de survivants organisaient des expéditions, destinées à ramener de la nourriture et, s’ils trouvaient, des armes, des munitions, du matériel médical, et tout ce qui pouvait être utile. Ces expéditions comprenaient toujours huit personnes au minimum, armés jusqu’aux dents, qui venaient en deux voitures généralement, ou avec ce qu’ils pouvaient. Pendant les hivers, en Russie, la majorité se servaient de bâches qu’ils faisaient glisser sur la neige, et ce sur les kilomètres. Les deux expéditions étaient tombées l’une sur l’autre, ce qui signifiait deux camps. Et pour tous, une fois qu’ils eurent compris que les autres n’étaient pas touchés par l’épidémie, furent heureux de trouver d’autres survivants, car c’était un symbole d’espoir. Les deux camps se réunirent en un seul, plus grand, et tous mirent en commun leurs ressources. Les couples se formaient souvent, et se quittaient rarement. Car la difficulté et la misère étaient des points communs, qui rapprochaient tout le monde. Mes parents ne firent pas exceptions. Ils s’étaient trouvés et ils s’aimaient. Le mariage eut lieu dans le camp, avec pour témoins les autres survivants. Plus de possibilité de faire de grands mariages en blanc. Et puis ma mère se retrouva enceinte et je naquis. Un symbole d’amour et d’espoir pour ces survivants. La naissance d’un enfant était devenue rare, mais alors de deux, encore plus. Je fus le second à naître, mon frère jumeau juste avant. On me prénomma Dylan. Mon frère fut prénommé Logan. Nous prîmes le nom de notre père, Udinov. Nom qui, autrefois, avait été plein de puissance, car symbole d’une très importante entreprise, mondiale, qui regroupaient presque tous les bénéfices russes. C’est pourquoi notre camp manquait rarement d’armes. Mon père, qui avait toujours des gardes du corps, avait récupéré beaucoup d’armes et de munitions, et il savait ou était caché une grande partie des armes de sa famille, des amis de la famille et des agents de sécurité, morts-vivants aujourd’hui.

Je grandis avec mon frère, très proche. Il se révéla vite que nous étions de faux jumeaux, mais nous étions liés comme des vrais.  Pour nous, aucune importance de savoir si nous nous ressemblions. Nous pensions toujours la même chose au même moment, et nous n’étions jamais l’un sans l’autre. Nos parents étaient très fiers de nous. Nous apprenions très vite, et notre enfance prit fin dès que nous fûmes capables de comprendre ce qui se passait. On nous entraîna au combat, à manier les armes, les explosifs, à guérir les blessures et maladies qu’on pouvait… On nous apprit aussi à lire et à écrire, à suivre des traces, à nous repérer… Tout ce qui pouvait servir. Le camp subissait souvent des attaques, mais hommes et femmes, jeunes ou vieux, valides ou blessés… Tous se battaient avec énergie, et si quelques uns étaient parfois touchés par l’épidémie, ils étaient aussitôt abattu, car tous avaient fait promettre à tout le monde de les abattre s’ils devaient devenir morts-vivants. Et, même si ça n’enchantait pas, les autres survivants tenaient les promesses faites. Quelques uns mourraient, sans avoir eu le temps d’être touché par l’épidémie. C’est dans un de ces raids que notre mère laissa la vie. Elle fut touchée par un mort-vivant, son plus jeune ami d’enfance. Le voir l’avait détournée une seconde, et il l’avait contaminée. Aussi, avant de ne plus pouvoir réagir, elle tourna son arme vers elle et s’ôta la vie. Sous nos yeux, à Logan et à moi, âgés de 9 ans. Nous vîmes dans son regard la vie lui échapper doucement. Son regard, ni mon frère ni moi ne pourrions l’oublier. Un regard plein d’inquiétude, de désespoir, de crainte. Mais aussi rempli d’amour. Notre père se précipita devant nous en criant, un cri inhumain. Mais plusieurs le saisirent et le tirèrent violemment en arrière, avant de tuer celui qui avait été le meilleur ami de notre mère. Le lendemain, les corps étaient brûlés. Les adultes nous regardaient souvent, Logan et moi. Il fut décidé que nous commencerions nous aussi à faire partie de tout ça, même si nous n’avions pas atteint les 10 années réglementaires. Nous avions regardé notre mère mourir. Nous n’étions plus des enfants. Mon frère et moi ne nous quittions plus. Nous ne parlions plus que peu, et notre père était brisé. Il ne se relèverait pas, beaucoup le savaient. Le raid suivant, deux semaines plus tard, eut raison de lui, mais nous ne le vîmes pas mourir. L’hiver, terrible, emporta les six doyens du camp, ainsi que deux nouveaux nés. Les raids s’enchaînèrent de plus en plus vite, et bientôt, le camp fut levés, pour fuir vers l’Amérique, de l’autre côté de l’océan. Le voyage dura longtemps. Beaucoup d’autres perdirent la vie. Des survivants d’autres pays et d’autres nationalités nous rejoignirent. Nous étions élevés par le camp maintenant, un peu tout le monde s’occupait de nous. Puis, arrivés aux Etats Unis, les raids nous obligèrent à nous séparer. Logan et moi, âgés de 17 ans, nous perdîmes de vue un instant. Juste un instant. Et je ne revis jamais mon frère, dont j’étais pourtant si proche.

J’ai aujourd’hui 22 ans. J’ai perdu toute ma famille, et malgré le camp, et les membres que j’apprécie beaucoup pour la plupart, je suis seul. Terriblement seul. Ma petite amie, Eloïse, a succombé à l’épidémie et est aujourd’hui l’ennemie. Si je me retrouvai face à elle, je ne suis pas sûr que j’arriverai à la tuer…


۞ PRÉNOM OU PSEUDO : Camille / Kai'
۞ AGE DU JOUEUR : 18 ans et demi
۞ CODE DU FORUM: Validé par la zombie-en-chef
۞ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? A votre avis ??
۞ COMMENT TROUVEZ-VOUS LE FORUM ? //
۞ PRÉSENCE SUR LE FORUM : Régulière ^^
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Messages : 10
Date d'inscription : 29/06/2014
Age : 108
Localisation : Zone indéterminée
Revenante Masquée
Administratrice
Revenante Masquée
MessageSujet: Re: Présentation de Dylan Udinov   Présentation de Dylan Udinov EmptyVen 18 Juil - 12:26








Bonjour Dylan,

J'ai bien pris connaissance de votre fiche de présentation, et je ne peux que la valider !
Je vous souhaite la bienvenue et un bon courage pour vos aventures à venir.
Sachez que le Staff est à votre disposition pour répondre à vos questions mais malheureusement, il n'entend pas les appels à l'aide....

A très bientôt In-Rp,

La Revenante Masquée

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Présentation de Dylan Udinov

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